Les fourmis ont fait de lui l’auteur français le plus lu dans le monde. Mais le petit insecte a failli ôter la création de Bernard Werber ci-devant qu’il n’ait écrit sa première trait. L’écrivain n’était encore qu’un jeune étudiant en journalisme lorsqu’il est défaillant en Côte d’Ivoire à la rencontre ces dangereuses fourmis magnan, en compagnie d’une équipe du CNRS. Une expérience automatique sur laquelle il recréationnt samedi au micro d’Isabelle Morizet dans l’émission Il n’y a pas qu’une création dans la création, sur Europe 1. C’est en remportant un concours d’idées de reportage, financé par une marque de cigarettes, que Bernard Werber entame son voyage.