Le groupe en pleine restrcuturation continue à mettre en place son nouvelle stratégie de recentrage.
C’était la dernière cession d’envergure pour Engie. La vente annoncée – pour un excellent prix de 7,1 milliards d’euros – d’Equans à Bouygues marque la fin du recentrage de l’énergéticien. Après les affres de la cession de la participation dans Suez à Veolia en octobre 2020, l’opération, cette fois, s’est bien passée. «Nous avions trois offres de qualité, dont une s’est détachée notamment en termes de prix et de capacité d’exécution»,
se félicite Catherine McGregor, la directrice générale d’Engie.
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En quelques années, le conglomérat énergétique a littéralement fondu, au rythme des cessions qui se sont accélérées avec l’arrivée de Jean-Pierre Clamadieu à la présidence du groupe, en mai 2018. Alors qu’en 2008, il pesait 80 milliards d’euros de chiffre d’affaires, il devrait plutôt se situer à 45 milliards après la cession d’Equans. Cette attrition résulte d’un constat: année après année, le groupe a perdu des parts de marché sur ses métiers traditionnels de la production d’énergie. Pour s’y
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